Saint-Girons 09200 Ariège

Les trottoirs sont impraticables en poussette. Il y a trop d'individus avec des chiens qui manquent de savoir-vivre. L'insécurité augmente la nuit tombée. Les rues sont très peu avenantes. Il y a une désertification des magasins. Tout de même, on constate une nette amélioration sur l'embellissement de la ville.

Les personnes âgées ou en situation de handicap rencontrent des difficultés avec des trottoirs non adaptés, tandis que le manque de places de stationnement, dû à des stationnements ventouses, pose problème. Si la zone bleue était respectée, cela irait mieux. Les comportements de certaines personnes sans domicile fixe sont une présence constante. Les informations culturelles et événementielles sont insuffisantes, tout comme l'implication en matière de santé. La saleté ainsi que les graffitis sont omniprésents. L'insécurité est un souci grandissant, tout comme la politisation excessive, qui conduit à placer des personnes incompétentes à des postes clés. La politique sociale semble davantage se concentrer sur l'assistanat que sur l'accompagnement.

La population marginale est très présente en centre-ville, de même qu'une population à risque issue de l'hôpital psychiatrique de Saint-Lizier, et depuis quelques années, des jeunes dealers venus des grandes villes avec diverses drogues, principalement de l'herbe Massatoise. Les incivilités sont fréquentes, tout comme le tapage nocturne, l'alcoolisme et la consommation chronique de drogues sur la voie publique, ce qui rend la cohabitation difficile, voire impossible, dans certaines rues.

Les excréments canins et le manque de civisme de la plupart des propriétaires de chiens, qui laissent leurs animaux uriner ou déféquer dans les petites rues du centre-ville, sont également problématiques. Il y a un manque de politique répressive à ce sujet, telles que l'installation de caméras de surveillance et la verbalisation des contrevenants. Les tags et les dépôts d'ordures intempestifs sont également un gros fléau.

Certaines entrées de Saint-Girons sont de véritables cauchemars ; les bas-côtés sont en mauvais état et non entretenus, avec des excréments de chiens sur les trottoirs. Les agressions impliquant des sans-abri avec leurs chiens créent un climat de peur, et certaines rues semblent être des endroits dangereux la nuit. Il y a quelques années, c'était un plaisir de vivre au centre-ville de Saint-Girons, mais maintenant, ce n'est plus le cas. Certaines personnes alcoolisées et droguées sont même armées de couteaux et d'autres armes.

Il faudrait que la Mairie organise un référendum sérieux pour enfin ouvrir les yeux, ou du moins prendre des mesures drastiques, car il semble que les autorités soient au courant de ces problèmes, mais n'agissent pas en conséquence. Actuellement, à Saint-Girons, une centaine de familles gitanes font la loi et imposent leurs règles, ce qui est insupportable pour la population locale.